In the oddest study entitled Eros couronné de roses 12, a fragile triptych composed of three-drawings on a wall, what we guess is a man is holding the naked body of woman, an inert and amputated mass slipping toward the ground.
A languid woman, her eyes closed, naked and lying, her left leg folded up against her chest.
Head, portrait, visage, feature, mug, look etc. There is a series of words to speak about the face.
Ce qui ne peut se dire de La Femme, il faut le peindre. Cela pourrait être le postulat de l'artiste franco-chilienne Paz Corona. Elle parle ici de ce réel qu'elle cherche à saisir à travers ses portraits de femme, un mode de présence plus qu'une image, entre centre et absence.
C’est d’une rencontre tout à fait énigmatique avec des objets d’art, d’une expérience esthétique complexe et singulière que ce propos tient son origine.
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D’abord l’évènement de l’hiver parisien, car il faut le dire, ce fut époustouflant : trois lieux, trois lectures, trois regards pour une œuvre sans précédent, celle de Picasso. A l’honneur, l’Espagnol enchantera l’espace d’une saison la capitale où il avait choisi de vivre et de créer il y a un siècle déjà…
Bernard Marcadé, biographe de Marcel Duchamp (Marcel Duchamp, la vie à crédit, Paris, Flammarion, 2007) répond à une question de Paz Corona sur les paradoxes du regard chez Marcel Duchamp.
As a child, Robert Wilson did not speak; his curious sensibility led him from the age of ten onwards to create in his solitude silent theatre plays thant carried no discernible meaning. Suite
Étant donné : 1° la chute d’eau 2° le gaz d’éclairage… est l’ultime œuvre de Marcel Duchamp, réalisée dans le plus grand secret entre 1946 et 1966 et dévoilée au public en 1969 à titre posthume. Avec cet étrange dispositif créé pour le regard à la manière d’un peep-show de foire,
C’est en lisant Philippe Sollers, il y a longtemps, que j’ai découvert Francesca Woodman ; l’envie de voir la photographie de cette très jeune femme qu’il nomme « la sorcière » m’a tout de suite saisie.